Tuesday, December 14, 2010

Le retour


6 février 1919

La guerre est fini l’onze novembre. Il y avait une conference à Paris où tous les pays participants ont signé la traité de Versailles. Le premier ministre Borden a aussi signé le traité. Ce n’était pas facile pour l’Allemagne de le signer; ils devaient payer pour les réparations, réduire leur armée et céder leurs leurs mines de charbon.

Je croyais que tout mes problèmes seraient résoudent avec la conclusion du guerre. C’était prèsque l’opposé, je devais marché à pied à travers la Belgique et la France pour me rendre au bâteau qui m’a apporté à l’Angleterre. Après avoir arrivé à l’Angleterre je croyais que je pourrait finalement retourner au Canada tout de suite, mais comme tout les autres soldats, je devais remplir des questionnaires et être examiné. Finalement je pouvais retourner chez moi! Je suis venu à Halifax par bateau et ensuite je me suis retourné chez moi par train.

Finalement je me retrouve chez moi. Je suis maintenant ici depuis quelques semaines. Ma mère m’a dit qu’avec la conscription un de mes frères et mon père ont été envoyé en Europe aussi. Je n’étais pas reconnaissant du tout qu’ils étaient là, peut-être ils étaient dans une de les mêmes batailles que moi. Mon père n’a pas encore retourné et ma mère est très inquiète. On n’a pas reçu aucune lettre et pas de visite pour nous informer de son mort, alors nous n’avons aucune idée se qui se passe avec lui. Aussi mon frère a perdu une jambe aux champs. Maintenant je suis reconnaissant du fait que j’étais très chanceux d’avoir retourné avec tout mes bras et jambes.

La vie ici est maintenant très difficile, ma mère a été renvoyé de son job à l’usine. Elle a travaillé là depuis que mon père est parti. Ça était notre seul revenu. Maintenant la production de nourriture est horrible car c’est encore l’hiver et nous le seul argent qui nous reste est l’argent que nous avons reçu pour avoir participé dans la guerre. Quand même je suis confiant qu’ensemble nous allons surmonter ces obstacles et retourner à notre vieille vie il y a quatres ans.

Source:

"Armistice - The End of World War I, 1918," EyeWitness to History, www.eyewitnesstohistory.com (2004).

Wednesday, December 8, 2010

Passchendaele et les tranchées


18 octobre 1917

C’est foux se que nous devons endurer. Parfois, le boux est jusqu’à nos ceintures! Le pluie est fort et constant toujours. Plusieurs de nous ont perdu nos armes dans le boux, mais j’étais une des chanceux, je l’ai encore. Quand même je ne suis pas très chanceux car je commence à avoir les pieds de tranchée. Après des jours dans ces conditions froides, insalubres et malsaines, je ne suis pas surpris. Je suis épuisé, ce n’est pas du tout se que je croyais qu’une bataille ressemblerait à. C’est totalement différente, c’est beaucoup plus longue et il y a beaucoup à marcher et à endurer. Mon coeur bat vigoureusement avec chaque pas que je prend et chaque fois que je respire car j’ai peur que ça sera mon dernier pas et mon dernier soufflé. Aussi, il n’y a pas d’héroisme car tout le monde perd quelque chose dans la guerre même si enfin ils gagnent la bataille.

Beaucoup d’hommes ont déjà retraité, et beaucoup d’autres sont mort à cause de les Allemands. Je sais que c’est ça la guerre et les soldats ont mourru pour leur nation, mais c’est différent quand c’est quelqu’un que je connais. J’ai perdu compte de combien de Canadien sont mort au champ de bataille. Quand même ce n’était pas pour rien. Nous continuant chaque jour à s’avancer pour conquérir Passchendaele. Les Allemands reculent de plus en plus, on est si proche.

J’ai rencontré les Allemands seulement une fois au champ de bataille à Passchendaele. J’ai réussi à tué deux soldats Allemands avec mon fusil et quelques autres avec une grenade que j’ai lancé. C’était une expérience traumatisant, voir les soldats juste à côté de moi tomber et mourrir. Je suis si chanceux que ce n’était pas moi. Je prie chaque jour à dieu pour lui remercier de m’avoir protégé aux champs. J’espère que ne vais pas encore me rendre en combat ici et retourner au Canada en une pièce.

Source:

Fourik, Bill. "WWI: Passchendaele." Canada at War. May 2005. Web. 09 Dec. 2010. .

Monday, November 29, 2010

La conscription

29 août 1917

Trois ans sont passés depuis que je me suis enrôlé dans la militaire canadienne. Je regret mon décision, j’était jeune et bête. Je me trouve maintenant en France, une grande nombre de mes amis sont mort. Nous nous sommes bataillé dans la bataille de la Somme. C’était horrible! Voyant tous mes amis morts et blessés devant mes yeux. Ce n’est pas du tout se que je croyais. Il n’y a pas d’héros dans la guerres, pas de gagnant, tout le monde perd quelque chose. Quand même, je vais rester positif et se batailler pour le Canada!

Après cette bataille nous avons beaucoup moins d’homme. Nous devons encore envoyer plus! Je sais qu’il y en a encore plusieurs disponible mais ils sont contre l’idée de se batailler pour leur nation, se défendre pour leur pays. Je comprends que quelques uns ne peuvent pas, comme mon père par exemple. Il ne peut pas simplement abandonner la ferme, nous n’aurons plus d’argent et nous ne pourrons plus se nourrir! C’est les Francophones qui m’énerve. Ils ne veulent pas joindre parce qu’ils n’ont pas du nationalisme pour l’Angleterre? C’est foux cela! Nous réprésentons le Canada avant tout. Ces pays sont nos alliés. Je ne les considère même pas comme des hommes, ils sont des bébés qui sont peur. Nous les Anglophones canadiens sont comme des frères pour eux, et ils ne veulent pas nous aider...

J’ai entendu un rumeur que le premier ministre Borden a résoud le problème. Il va avoir la conscription. L’enrôlement dans la militaire sera maintenant obligatoire. Je ne suis pas très content de ça si c’est vrai car mon père sera obligé de venir aussi et la reste de la famille va souffrir dû à la manque de production de nourriture. C’est tout la faute des Francophones. S’ils ne seraient pas si égoïste et joindraient volontairement, ma famille ne devra pas souffrir maintenant!

Source:

Bourre, James. "Conscription." Historica: Peace and Conflict. Historica, 23 June 2005. Web. 29 Nov. 2010. .

Friday, November 12, 2010

Le début....


Je m’appelle John Douglas. Recemment j’ai 18 ans. Je vie dans la campagne en Oshawa, Ontario (près du frontière américain). J’étais né ici, en Oshawa mais mes parents ont immigré de l’Angleterre. J’habite avec ma mère, mon père et mes quatre frères qui sont tous plus jeunes que moi, et aucune soeur. J’aide mon père avec l’agriculture et la production du blé et des fruits. Je déteste la vie rurale. Je veux s’échapper et faire plus avec ma vie. Je sais que je suis destiné pour une vie meilleure et plus importante. Mes parents sont contre cette idée et veulent que je vie la reste de ma vie ici sur la ferme. Je trouve que ça c’est injuste et ce n’est pas necéssaire car ils n’ont même plus besoin de mon aide car tous mes frères son maintenant assez âgés pour aider mon père sur la ferme. J’ai besoin de partir d’ici, vite.


6 août 1914

Aujourd’hui c’est le jour que je suis devenu un soldat canadien. J’ai attendu plusieurs heures avec tous mes amis pour s’enrôler dans la militaire canadienne. Nous avons appris la nouvelle on voyant plusieurs affiches partout et aussi dans les nouvelles depuis deux jours. Nous sommes tous très hâte pour partir pour l’Europe et se battre pour notre pays! Depuis que j’étais très jeune je voulais toujours être un soldat!

Ma mère et surtout mon père sont contre l’idée. Nous vivons sur la ferme alors mon père est furieux car je ne vais plus être là pour aider avec l’agriculture et la production de la nourriture. Mais que je déteste ce travail! Dès que j’avais 18 ans je voulais partir, mais ils m’ont convaincu à rester. Je leur ai toujours dit que je veux partir pour la ville et que j’en ai assez de la campagne, mais ils ne m’ont jamais laissé partir. Ça c’est finalement ma chance de partir de cette terrible ferme. C’est parfait!

Bien sûr ça se n’est pas la seule raison pourquoi je deviens soldat volontaire aujourd’hui. Je suis heureux de finalement pouvoir se battre pour ce pays et pour l’Angleterre. Je suis hâte de partir en voyage avec mes amis et montrer à tout le monde que nous ne sommes plus des enfants mais des hommes capable de défendre notre pays. Nous espérons tous à revenir après la guerre comme héros. Ça va être exactement comme quand on était tous petits et jouait la guerre; on tuait l’ennemi et on été tous des héros. La seule différence maintenant sera que ça va se passer pour de vrai! Je vais partir comme fermier canadien, mais la guerre va changer ma vie, je vais retourner un héro!

Sources:

Morton, Desmond. "Canada in World War One – Canadians in the First World War." European History – The History of Europe. 28 May 2009. Web. 13 Nov. 2010. .