Wednesday, December 8, 2010

Passchendaele et les tranchées


18 octobre 1917

C’est foux se que nous devons endurer. Parfois, le boux est jusqu’à nos ceintures! Le pluie est fort et constant toujours. Plusieurs de nous ont perdu nos armes dans le boux, mais j’étais une des chanceux, je l’ai encore. Quand même je ne suis pas très chanceux car je commence à avoir les pieds de tranchée. Après des jours dans ces conditions froides, insalubres et malsaines, je ne suis pas surpris. Je suis épuisé, ce n’est pas du tout se que je croyais qu’une bataille ressemblerait à. C’est totalement différente, c’est beaucoup plus longue et il y a beaucoup à marcher et à endurer. Mon coeur bat vigoureusement avec chaque pas que je prend et chaque fois que je respire car j’ai peur que ça sera mon dernier pas et mon dernier soufflé. Aussi, il n’y a pas d’héroisme car tout le monde perd quelque chose dans la guerre même si enfin ils gagnent la bataille.

Beaucoup d’hommes ont déjà retraité, et beaucoup d’autres sont mort à cause de les Allemands. Je sais que c’est ça la guerre et les soldats ont mourru pour leur nation, mais c’est différent quand c’est quelqu’un que je connais. J’ai perdu compte de combien de Canadien sont mort au champ de bataille. Quand même ce n’était pas pour rien. Nous continuant chaque jour à s’avancer pour conquérir Passchendaele. Les Allemands reculent de plus en plus, on est si proche.

J’ai rencontré les Allemands seulement une fois au champ de bataille à Passchendaele. J’ai réussi à tué deux soldats Allemands avec mon fusil et quelques autres avec une grenade que j’ai lancé. C’était une expérience traumatisant, voir les soldats juste à côté de moi tomber et mourrir. Je suis si chanceux que ce n’était pas moi. Je prie chaque jour à dieu pour lui remercier de m’avoir protégé aux champs. J’espère que ne vais pas encore me rendre en combat ici et retourner au Canada en une pièce.

Source:

Fourik, Bill. "WWI: Passchendaele." Canada at War. May 2005. Web. 09 Dec. 2010. .

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